[ escusez-moi mais puis-je me faufiler dans votre histoire, maître chasseur... si vous voulez pas de moi dites-le moi...]
Heimdall était couché sur un toit d'une vieille maison en ruine observant le ciel bleu qui se défilait devant ses yeux. Il était à peine arrivé dans cette ville et passait la majeur partie de son temps à explorer les alentours sous sa forme animale. Premièrement, car ça allait plus vite qu'à pied et deuxièmement il voulait pas marcher aujourd'hui. Finalement, il devait trouvé la personne qui devait protéger. Heimdall poussa un soupir tandis qu'il s'assoyait, protéger une personne alors que lui il était presque le mal incarné dans la poétique du mot.
* foutue vie, mais je l'aime bien *
Un sourire triste éclairait son minois. Heimdall secoua sa tête de droite à gauche, il était hors de question d'être malheureux, il avait eu droit à une deuxième chance ça ne se refait pas une troisième fois. Il devait vivre le moment présent. Il ferma les yeux et se concentra sur un faucon au plumage brun clair. Heimdall se sentit de plus en plus petit après un long moment de concentration et puis dans un pouf, il apparut. L'adolecent sous cette forme était certe petit mais c'était la liberté qu'il aimait dans cet animal. Sous ses griffes il sentait, l'éffritement des bordeaux qu'il provocait en s'avança précautieusement près du rebord de la toiture. Sa vision était excellante, et à chaque fois, Heimdall était impressioné par la vue du faucon pèllerin. L'oiseau pencha sa tête sur le côté, et puis se laissa tomber dans le vide en ouvrant ses ailes. Il battit des ailes pour pourvoir prendre de l'alltitude.
Vu d'en haut la ville semblait être une reconstitution de maison de poupée en format miniature. Il sentait sous ses plumes le vent, qui le transportait. Heimdall se laissa transporter au fil de ses pensées, sous lui s'étendait les rues, les parcs... tiens à trois heure tapante un groupe d'oiseaux ! L'adolescent ria intérieurement, ça aurait des bonnes proies à effrayées, mais il y rennonca. Le Daemon pivota sur lui même pour se diriger vers une étendue d'eau et de sable non loin de là qui avait capté son attention.
Arrivé à destination, après une demi-heure de vol, il demeurait dans les airs savourant l'air marin. (ça se dit l'air marin ?) Heimdall fit des galipettes ici et là et remarqua de loin une silhouette couché sur le sable.
* Un Humain ?! Chouette ! *
Il essaya de s'approcher sans bruit, après un temps qui lui parut long, il était assez près de sa ''victime''. L'adolescent piqua alors les griffes en avant vers la silhouette, lorsqu'il fut près du corps de l'humain, Heimdall poussa un cri et il essaya de remonter aussi vite qu'il le put pour aller faire des cercles au-dessus de la silhouette dans le ciel.